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Caroline Sarrot-Lecarpentier 👾
Leadership, Management et Dynamiques Intergénérationnelles | J’accompagne dirigeants et RH à faire coopérer les talents de toutes générations | +50 conférences & missions interG | Co-fondatrice de VivaGen !
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August 14, 2025
Je lis dans Le Parisien, qu'en 40 ans, 7 boîtes de nuit sur 10 ont fermé. Pas parce que les jeunes ont arrêté de faire la fête. Mais parce qu'ils la font différemment. Voici ce que j'observe et qui éclaire nos organisations. ⏮️ 𝐀𝐯𝐚𝐧𝐭 (je suis dedans), on "allait en boite". → Le Baron, Le Bus Paladium, Folies Pigalle, le Duplex, les Bains douches, ... C'était un lieu fixe, grand, codifié. → Il y avait du monde. On était serré. Il y avait un seul DJ. → On y allait pour être "dedans". On sympathisait avec le doorman. Bref, le lieu était LA destination. ▶️ 𝐀𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝’𝐡𝐮𝐢 (je choisis mon moment) → Les lieux : rooftops (Perchoir, Mama Shelter), bars cachés (Lavomatic, Moonshiner), friches urbaines (Cité Fertile, Ground Control), péniches l’été. Plus petits, mobiles, éphémères. → Les expériences : silent disco, afterworks à thème, dîners-concerts, festivals urbains (We Love Green, Peacock Society). On choisit son ambiance. → On y va pour ce qui s’y passe. Pas pour “le lieu” en lui-même comme avant. 𝐎𝐧 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞́ 𝐝’𝐮𝐧𝐞 𝐂𝐔𝐋𝐓𝐔𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐅𝐎𝐔𝐋𝐄 — 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟, 𝐜𝐨𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐦𝐩𝐨𝐬𝐞́𝐬 — 𝐚̀ 𝐮𝐧𝐞 𝐂𝐔𝐋𝐓𝐔𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐓𝐑𝐈𝐁𝐔 : 𝐩𝐞𝐭𝐢𝐭𝐬 𝐜𝐞𝐫𝐜𝐥𝐞𝐬, 𝐚𝐩𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐞, 𝐜𝐨-𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐱𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞. Ce que ça dit de nos organisations ⤵️ Les grands messes corporate, les open spaces uniformes, les séminaires “format unique” ont le même problème que les boîtes de nuit : ils ne correspondent plus aux codes relationnels d’aujourd’hui. Ce que vous pouvez faire ⤵️ ✅ 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐞𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐞́𝐯𝐞́𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐦𝐨𝐝𝐮𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 : un cadre commun + plusieurs expériences au choix. ✅ 𝐌𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐬 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐭𝐬 𝐞𝐭 𝐢𝐦𝐦𝐞𝐫𝐬𝐢𝐟𝐬 plutôt que les longues réunions descendantes. ✅ 𝐂𝐫𝐞́𝐞𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐨𝐜𝐜𝐚𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐧𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐬 plutôt que forcer le brassage massif. ✅ 𝐈𝐧𝐭𝐞́𝐠𝐫𝐞𝐫 𝐯𝐨𝐬 𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐜𝐨-𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 de chaque moment collectif. 🚫 Et n'allez PAS me créer des tribus par générations, please !!! L'interG, ce n'est pas de la segmentation. Une “tribu” n’est pas un groupe d’âge. C’est un cercle d’affinités, d’intérêts, de valeurs ou de projets communs. _____________ Si vous me découvrez, je m'appelle Caroline Sarrot-Lecarpentier 👾, spécialiste des dynamiques intergénérationnelles. Mon parcours d’accompagnement InterG dans les entreprises commence par une étape de sensibilisation pour déclencher une prise de conscience. Prenez rdv ici pour tout comprendre en 30 min : https://lnkd.in/e_mqh6xj Je vous montrerai comment mettre en place des tribus 😉
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August 14, 2025
Discussion about this post
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Pierre Combet
Vice President Real Estate EMEA at Foot Locker
18 days ago
Yes ca change. A la fin le grand collectif passera effectivement en peau de chagrin de plus petit à plus petit et finalement tout seul dans son coin. Seul, libre, seul mais fièr(e) d être libre et raconter ses expériences solo sur les médias
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Christophe Scius
Manageur & Développeur : Environnement, Humain et rentabilité.
19 days ago
Carine Pinto tribus;-)
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Mathieu BAUMGARTH
STOPS / STO: Shutdown Turnarounds & Outages + STrategic Operations (ST-OPS) Management / CEO-Président
19 days ago
Rdv dans deux ans pour un post aussi pourri qui ventera la hype du grand retour des boîtes de nuit. Le « doorman »: pouhahaha, c’est justement depuis qu’ils ne l’appellent plus videur qu’on ne veut plus en boîte pour y croiser des nazes. Ça reviendra. Eux passeront.
7 jours à l’hôpital. Je suis sortie sans payer. Rien. Et pourtant, j’en avais pour 14 513 euros. C'est ce que ca a coûté ma prise en charge en décembre dernier au Kremlin Bicêtre. Une opération en urgence le 18 novembre, emmenée par les pompiers. Une semaine plus tard, je descends au service administratif après le Go du chirurgien. Je tends mes papiers à la secrétaire au RDC. Elle me dit gentiment, avec le sourire : — “C’est bon, tout est pris en charge. Bonne journée.” Je bloque. — “Mais… je paye où ?” — “Nulle part. Pris en charge par la Sécu et votre mutuelle" Je redemande. — “Mais combien ça a coûté ?” — “14 513 euros.” Quatorze mille cinq cent treize euros 😥 Et personne ne le dit. Pas une fois. Je connais le prix de mon mascara, de mes vacances, de mes courses. Mais pas celui d’une semaine à l'hôpital. C’est comme si je rentrais dans une boulangerie, je prenais deux éclairs, je sortais sans rien dire, en disant "les autres paieront " Et derrière, je râlais parce que la vendeuse n’avait pas été sympa. On marche sur la tête !!! Peut-être qu’il faudrait payer un peu. Quitte à être remboursé. Peut-être qu'il faudrait prendre l'habitude de tendre la facture, en montrant ce que ca a coûté. Pas pour culpabiliser. Mais pour montrer la valeur des compétences réunies autour de nous, des actes fournis et de l'équipe en place. Et se rappeler ce que ça coûte. E que c'est vous, que c'est moi qui payons. Car à donner l'illusion que c'est gratuit, ça devient invisible. Donc sans valeur. Et c’est peut-être ça, le vrai danger. ______ Voilà, coup de gueule du vendredi 😠 C'est plus possible. Ca faisait longtemps que je voulais en parler. Done. PS : Equipe géniale au Kremlin Bicêtre, chaleureux et pro. Bravo et merci. PS2 (modifié) : Le nom "Kremlin-Bicêtre" vient de l’arrivée, en 1812, de vétérans de la campagne de Russie à l’hospice de Bicêtre. Un cabaret voisin est alors baptisé « Le Nouveau Kremlin » en référence à Moscou. Ce nom s’est ensuite imposé pour désigner le quartier.
1294 comments
July 9, 2025
Grosse erreur de communication de Bruno Le Maire ? Certainement. En attirant l’attention sur la réduction de la durée d'indemnisation des allocations chômage des #seniors, il les pénalise doublement. Les études le montrent ⤵️ - L’âge est le premier facteur de discrimination à l’embauche - 8 seniors sur 10 sont au chômage par décision de leur employeur - Les seniors ont moins accès à la formation dès 50 ans - Les seniors restent au chômage en moyenne 865 jours contre 300 pour les autres. Et donc réduire les allocations va aider ??? Je ne comprends vraiment pas cette stratégie … Plutôt que de SANCTIONNER, il aurait été intelligent d’attirer l’attention sur ce qui est fait pour FAVORISER leur employabilité. Déjà, en réduisant les charges sociales sur les seniors et demandant aux employeurs de modifier leur comportements vis à vis des seniors. Comme : * Une meilleure prise en compte des discriminations à l'embauche des seniors. * Une sensibilisation du collectif aux préjugés et stéréotypes qui touchent les seniors * Des mesures de formation et de reconversion professionnelle adaptées aux besoins des seniors. * Une considération et reconnaissance de la valeur du collaborateur expérimenté dans l’entreprise * Un accompagnement individualisé des seniors en recherche d'emploi. Je rappelle que l’objectif du Ministère du Travail à horizon 2030 est de parvenir à un taux d'emploi de 65 % chez les 60-64 ans (contre 36,2 % aujourd'hui). Pas sûre que le coup de com d’hier aille dans le bon sens. Marie-Liesse Morgaut Claire Flury Claire Bône Enzo Trecco Gilles Martin Elisa PASSERON-NGUYEN Axelle Marnat Florian Pittion-Rossillon Tong Chhor Frederique Jeske 🎤 David MAHE Sébastien Vallet 🧩
267 comments
November 24, 2023
Je me tords de douleur et pourtant je n’ose pas appeler ma cliente pour annuler ma conférence. Il est 7h30 du matin. Je ne peux pas simplement la laisser tomber le jour même ! Je me lève. Je manque de tomber. Je me rallonge, je pleure de douleur. Qu'est-ce que j'ai mal ! Mais si j'appelle, je lui dis quoi ? Ils ont fait venir 300 collaborateurs pour assister à mon intervention sur le Dialogue InterG prévue à 11h. Et demain, j’ai encore deux autres conférences… Un effort, Caro, bon sang ! Non, il faut être lucide. Je ne suis pas en état. J’envoie un SMS ? J’appelle ? Il est trop tôt ! ⏰ Mais pourquoi attendre, après tout. Plus tôt sera le mieux. Oui, je dois appeler. C’est plus correct. Après ce coup de fil, je partirai avec les pompiers et serai opérée d’urgence à l’hôpital ce soir-même. 🏥 Je ressors sept jours plus tard avec une cicatrice de 20 cm sur le ventre. 👿 C’est la première fois que ma santé déraille depuis le lancement de mon nouveau projet. C’est un arrêt brutal, douloureux, et long. 😥 J’ai appris trois choses : → Que mes clients sont bienveillants. J’ai cru qu’ils allaient râler, rouspéter, m’en vouloir. Rien de cela. Ils ont annulé et ont tous souhaité reporter la conférence, prenant régulièrement des nouvelles de ma santé. Maud, Stéphanie, Véronique et Dominique, merci du fond du cœur. C'est un vrai témoignage de respect pour moi. → Que tout paraît futile quand on est sur un lit d’hôpital. Le monde n’a pas changé, la frénésie de LinkedIn est intacte. Vu de loin, c'est même écœurant tellement ça déborde. Je vais arrêter de tout miser là-dessus. → Qu'il faut arrêter avec le syndrome du FOMO. C’est sûr, j'ai raté et je vais rater plein de choses. Dont un super déjeuner aujourd'hui, invité par la DRH de BNP avec des LinkedIn Top Voices. Tant pis, demain il fera beau. Le temps de me refaire une santé, et je vais revenir gonflée à bloc en janvier 🚀🚀 Cet épisode douloureux m'oblige à mieux équilibrer boulot et bien-être personnel. La santé est précieuse. Sachez écouter votre corps quand vous sentez que ça ne tourne pas rond. Sinon, il vient vous le rappeler, de manière un peu cavalière ! #convalescence
213 comments
December 14, 2024
Je lis dans Le Parisien, qu'en 40 ans, 7 boîtes de nuit sur 10 ont fermé. Pas parce que les jeunes ont arrêté de faire la fête. Mais parce qu'ils la font différemment. Voici ce que j'observe et qui éclaire nos organisations. ⏮️ 𝐀𝐯𝐚𝐧𝐭 (je suis dedans), on "allait en boite". → Le Baron, Le Bus Paladium, Folies Pigalle, le Duplex, les Bains douches, ... C'était un lieu fixe, grand, codifié. → Il y avait du monde. On était serré. Il y avait un seul DJ. → On y allait pour être "dedans". On sympathisait avec le doorman. Bref, le lieu était LA destination. ▶️ 𝐀𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝’𝐡𝐮𝐢 (je choisis mon moment) → Les lieux : rooftops (Perchoir, Mama Shelter), bars cachés (Lavomatic, Moonshiner), friches urbaines (Cité Fertile, Ground Control), péniches l’été. Plus petits, mobiles, éphémères. → Les expériences : silent disco, afterworks à thème, dîners-concerts, festivals urbains (We Love Green, Peacock Society). On choisit son ambiance. → On y va pour ce qui s’y passe. Pas pour “le lieu” en lui-même comme avant. 𝐎𝐧 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞́ 𝐝’𝐮𝐧𝐞 𝐂𝐔𝐋𝐓𝐔𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐅𝐎𝐔𝐋𝐄 — 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐟, 𝐜𝐨𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐦𝐩𝐨𝐬𝐞́𝐬 — 𝐚̀ 𝐮𝐧𝐞 𝐂𝐔𝐋𝐓𝐔𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐓𝐑𝐈𝐁𝐔 : 𝐩𝐞𝐭𝐢𝐭𝐬 𝐜𝐞𝐫𝐜𝐥𝐞𝐬, 𝐚𝐩𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐞, 𝐜𝐨-𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐱𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞. Ce que ça dit de nos organisations ⤵️ Les grands messes corporate, les open spaces uniformes, les séminaires “format unique” ont le même problème que les boîtes de nuit : ils ne correspondent plus aux codes relationnels d’aujourd’hui. Ce que vous pouvez faire ⤵️ ✅ 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐞𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐞́𝐯𝐞́𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐦𝐨𝐝𝐮𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 : un cadre commun + plusieurs expériences au choix. ✅ 𝐌𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐬 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐭𝐬 𝐞𝐭 𝐢𝐦𝐦𝐞𝐫𝐬𝐢𝐟𝐬 plutôt que les longues réunions descendantes. ✅ 𝐂𝐫𝐞́𝐞𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐨𝐜𝐜𝐚𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐧𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐬 plutôt que forcer le brassage massif. ✅ 𝐈𝐧𝐭𝐞́𝐠𝐫𝐞𝐫 𝐯𝐨𝐬 𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐜𝐨-𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 de chaque moment collectif. 🚫 Et n'allez PAS me créer des tribus par générations, please !!! L'interG, ce n'est pas de la segmentation. Une “tribu” n’est pas un groupe d’âge. C’est un cercle d’affinités, d’intérêts, de valeurs ou de projets communs. _____________ Si vous me découvrez, je m'appelle Caroline Sarrot-Lecarpentier 👾, spécialiste des dynamiques intergénérationnelles. Mon parcours d’accompagnement InterG dans les entreprises commence par une étape de sensibilisation pour déclencher une prise de conscience. Prenez rdv ici pour tout comprendre en 30 min : https://lnkd.in/e_mqh6xj Je vous montrerai comment mettre en place des tribus 😉
197 comments
August 14, 2025